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Nadia Meflah

D'ici et d'ailleurs, cheminant en cinéma dans tous les territoires et genres, Nadia Meflah est critique, programmatrice, formatrice, lectrice et passeuse. À l'écoute de tous les publics, passionnée par la transmission de ce qui fait sens et récit, imaginaire et élaboration de soi. Auteure d'un documentaire sur Oum Kalthoum, "la voix du Caire" (Arte, 2017) et du livre "Chaplin et les femmes" (éd. Philippe Rey).
John Lloyd Cruz se fait couper les cheveux dans Quand les vagues se retirent
Interview

« Quand les vagues se retirent » : Interview de Lav Diaz

15 août 2023
Nous avons rencontré Lav Diaz à l'occasion de la sortie de Quand les vagues se retirent. Il analyse la situation politique et sociale de son pays et la place qu'occupe pour lui le cinéma : « Malgré ma lucidité sur la situation actuelle, que ce soit dans mon pays mais aussi dans le monde, en tant que cinéaste je me dois de témoigner. Tous mes films sont engagés dans ce travail de mémoire, ils forment une chronique de l’histoire des Philippins. Que mes films puissent être perçus comme un dialogue et une réflexion sur l’histoire, le passé comme le présent, de chacun de mes concitoyens. L’image est un témoin du passé et à la fois un miroir de ce que nous étions ».
Le dictateur de Charlie Chaplin
Esthétique

À partir de « Le Dictateur » : Le corps primitif de Chaplin contre le spectacle télévisuel

12 août 2019
Animalité et Satyre dans le cinéma de Charlie Chaplin : redevenir primitif, sale, barbouillé, montrer son derrière, être méchant comme des enfants pour échapper au lissage du spectacle télévisuel.
Monsieur Verdoux et l'argent dan le film de Charlie Chaplin
Esthétique

À partir de « Monsieur Verdoux » : Une trinité de l'obscénité

30 juillet 2019
À partir de « Monsieur Verdoux » jusqu'à « Un Roi à New York », en passant par « Les Feux de la rampe » : analyse d'une trinité de l'obscénité personnifiée par Verdoux, Shahdov et Calvero dans la filmographie de Charlie Chaplin.
Charlie Chaplin de dos dans Charlot est content de lui
Esthétique

« Charlot est content de lui » : Autofiction du réel, Charles Chaplin un cas unique

10 juillet 2019
En 1914, dans Charlot est content de lui, un nouveau corps surgit au cinéma : unique et scandaleux, irréductible à la société de consommation célébrant le spectacle du devenir machine.